Hashari

Pages salies.

Jeudi 2 décembre 2010 à 17:30

Paris, capitale française de la lumière, 3h18, assis sur un balcon du 9éme, la vue sur le sacre coeur, un verre de rhum pour accompagner une cigarette.
Elle m'attend dans sur son lit au matelat blanc et à la couette rouge.
Ma belle blonde aux bras rassurant, et aux regards profonds n'évoquant que l'inquiétude qu'elle porte à mon égard. Elle m'aime et me donne un sentiment digne de la perfection.
Elle à les cuisses douces et agréables, le creux de ses reins ne demande que les les miens,  une sphère orne son nombril, son bassin suscite une lubricité inébranlable qui parcours le long de mes pores, ses côtes ne sollicitent que ma tendresse, sa poitrine généreuse donne au pêché de la luxure une raison d'exister, son sourrire d'ange repousse le démon qui sommeil en moi, ses yeux pleurent, laissant couler les larmes jusqu'à ses lèvres, la solitude que je leurs inflige est impardonnable. Un regard perçant et un caractère trempé dans de l'acier épais.
Elle offre à mes nuits une chaleure sentimentale qui me paraît tellement inconnue que je n'oserais jamais entamer une déscription.
Le symptome de celui qui à trouver son bonnheur.

"Capitale qui me fait perdre pied, capitale qui à gagner son lot de fidélité."

Jeudi 11 novembre 2010 à 1:38

Maman, j'ai peur, j'ai peur de demain,
Peur de plus pouvoir toucher ta main;
J'ai grandit avec ton amour 
Jour après jour,
Tu veux que je sois le meilleur je fais tout pour,
Arête de pleurer maman 
Je m'en sortirais, pour toi et pour ce que tu as consacré en temps;
Tu t'épuises à m'apprendre les bonnes choses,
Alors laisse moi écrire ces quelques proses.
Je ferais tout pour voir se dessiner sur ton visage le plus beau sourire. 
Ecoute ce que j'ai à te dire,
Laisse toi emporter par l'hommage qu'aujourd'hui je tiens à te rendre,
Ton fils ne se laissera jamais prendre
Par ceux qui traînent en bas de l'échelle,
J'briserais jamais notre amour pour une "Elle".
Je t'aime et j'ai jamais su te le dire les yeux dans les yeux,
Je t'ai forcé à te tourmenter pendant des nuits et des nuits
Je n'ai rien d'autre à dire sur ça, si ce n'est que je m'en veux,
Comme tu n'imagines pas, tu m'en vois rongé par le feu de toute une vie.
Si ma réussite me sert de rédemption,
Je franchirais les limites quitte à agir comme un con.


Je t'aime comme personne n'a le droit de t'aimer.

Mercredi 27 octobre 2010 à 11:52

Le regard bleu perçant et de l'or en guise de cheveulure.
Nous traçons notre route avec des pas de géants, les seules images qui surgissent de mon coeur ne sont que
le regard de braise,
et ses mains d'anges,
mon corps à besoin de sa chaleur, je veux creuser une place dans son coeur et m'y blotir aussi longtemps qu'elle me l'accordera.
La crainte se fait sentir, secondes après secondes, la vie s'est-elle, pour une fois, emparé de mon âme?
Je suis le prisonnier de son visage.
Les nuits sont semblable à un envol au paradis à ses côtés,
ses baisers ont le gout de la luxure, et la douceur de ses caresses rappel le vent en plein mois d'Août,
son odeur transperce mon odorat, et les baisers que je laisse sur sa nuque me font oublier toute les saveurs que j'ai put rencontrer jusqu'ici,
la tranquilité est dans son souflle, et la paisibilté est au creux de ses bras.


Elle et son amour à revendre...

 
800, c'est le nombre de bornes qui me sépare d'elle et de sa vertue,  mes vices et mes démons s'envolent comme feuilles au vent quand mes pas atteignent les quais de la Gare de Lyon.
 Aujourd'hui, je peux reprendre la bonne route dans le bon sens, et dormir plus tranquillement.

 

Infiniment merci.

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