Hashari

Pages salies.

Mardi 21 décembre 2010 à 21:05

J'fait le drame de demain et je continue les nuits comme si elles étaient éternelles,
J'ai pas envie de la voir partir, de la voir s'éloigner
J'veux pas de trou dans le livre que je viens d'ouvrir,
 Mon passé, un casse tête et ma vie est une équipe de casse burne.
 J'veux pas faire le tour de ma piaule toute ma vie, le matin jme lève j'attrape l'Haya
  J'ai lacher le bol de céréales depuis que la roue à tourner dans le mauvais sens.
 Je reste sur la route, elle n'est pas sainte, mais aboutira forcément quelque part.
  C'est pas de l'or qui coule entre mes doigts, c'est le poison de vie
  Mais j'suis là pour faire mon temps,
  Marqué mon passage avec l'odeur du sucre distillé.
  J'aime mon alcool, et le bruit des talons, mon bout qui irrite la gorge des baveuses.
   J'cracherais pas dans ton fiacre, il est déjà plein d'foutre.
  T'façon j'me dit que ce que j'écris passera inaperçu.
   J'aime l'odeur de la viande qui grille sur piano, le bruit de la mine qui appuie sur la feuille.

 Dans une semaine tout soucis deviendra passé avant de reprendre chute.
 
 
 
 
 
 
 
 

 

Vendredi 17 décembre 2010 à 0:51

J'ai prit la porte et je me suis barré avec, je me suis fait dérober mon cœur par Boite à rythme,
je me suis fait ronger par un acide bien plus puissant que la rivonit,
je regrette et tourne le dos au passé qui a sut me trouver pendants les pires sanglots, et qui a aussi sut m' perdre.
J'en rallume de plus en plus tard, ta disparition a l'effet d'un cyclone en moi
et mes mots, parmi tout les mauvais que tu as encaissé, viendront peut-être te percuter, ce soir.
Le jour, tu deviens obsession et la nuit je regarde le creux de mes mains, ce qu'il y a autour ne m'intéresse guère plus.
Je suis heureux de pouvoir relayer la douleur avec ces quelques lignes.

"Entendre ton rire comme on entend la mer
Si je suis barge ce n'est que de tes yeux, car ils ont l'avantage d'être deux!"

Jeudi 11 novembre 2010 à 19:39

 C'est fini, les jours ne s'additionneront plus, les heures ne défileront plus, le souvenir s'emparera de vous.
Les jours sombres se termineront, les soirées d'inquiétude s'envoleront en poussière.
Le vase brisé est irréparable, les maux m'ont déchiré et les actes m'ont élucidé.
J'ai pleurer ce que j'avais à plaindre en moi, j'ai crié ce que j'avais au plus profond de moi-même,
mais ma voix, seule dans l'écho prolongé, tremblotait de faiblesse et d'épuisement, j'ai sali mes murs par le sang,
les cicatrices qui se sont formés avec le temps me rendent nostalgique.
Au fond de mon lit, la nuit, Furax me parle, mon joint à rallumé comme occupation, je gamberge, sans cesse,
j'écris, je déchire, je recommence pour que mes textes ne soient, au final, pas lus.

Texte écrit le 28/09/10

Mercredi 10 novembre 2010 à 0:58

 Les lignes de basses ont remplacé le bruit de la circulation, ma fumée se répand sur le sol devant moi, jm'endors avec l'effet de la résine et de mon propre psy qui agît pendant mon sommeil, un petite latte et je repars pour des paragraphes interminables.
Chaque nuit resteront les mêmes, depuis l'enfance, depuis le premier goulot, premier tesson sur un crâne, je craque seul dans le noir avec mon psy, chaque nuits résument ma vie, je crache mon hymne, je balance mes vers comme tu vomis sur le pavé après une demi-bouteille.
Moi c'est mon canna qui m'a montrer, c'est pas vos vulgaires leçons de moral, j'ai préféré ignorer vos paroles et vos jugement, je ne veux plus mûrir, notre maccab attend là, des heures et des heures, refusant de se relever; tu crois qu'en attendant à genoux, tu te montreras fort?
 
 
Je craque depuis le landau, les coups du dar', l'ignorance de l'entourage, la solitude d'un homme sombre, peut finir en fait divers dans les journaux. 

Vendredi 29 octobre 2010 à 18:34

Ma jeunesse est perdue, elle se bat fonce droit dans l'mur et écris ses couleurs sur des vitres de magasins.
Tu vois la drogue qui tourne dans toutes les mains, même des plus jeune, la destruction, est à notre gout, un apogée.
La route qui mène au bonheur est brouillée, se cache dans nos coeurs une peine qui ne cesse de se montrer de plus en plus justifiable.

Toujours à s'étouffé avec l'Haya sur la même pelouse, t'attend que les mêmes personnes fasses tourné les mêmes boissons.

L
e doigt sous la gâchette, on prend conscience de l'avancé qu'il nous reste à franchir.
Pourtant on préfère se tuer, goutte après goutte, lignes après lignes, on refait le monde avec les mots.
Y en a qui on encore les pieds sur terre, d'autres qui ont décollé avant même d'avoir compris ce qu'est la vie.

J'ai perdue ma jeunesse comme la plupart des mes semblables.
 

À l'heure où les frères s'emportent pour une fille qui aurait trop usé de leur patience.
Et où les soeurs se déchirent pour un homme qui aurait cogner trop fort.
On s'enflamme quand y a plus de feuille mais un joint dans la paume.
Génération canapé, tarpé, télé HD.

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