Les jours sombres se termineront, les soirées d'inquiétude s'envoleront en poussière.
Le vase brisé est irréparable, les maux m'ont déchiré et les actes m'ont élucidé.
J'ai pleurer ce que j'avais à plaindre en moi, j'ai crié ce que j'avais au plus profond de moi-même,
mais ma voix, seule dans l'écho prolongé, tremblotait de faiblesse et d'épuisement, j'ai sali mes murs par le sang,
les cicatrices qui se sont formés avec le temps me rendent nostalgique.
Au fond de mon lit, la nuit, Furax me parle, mon joint à rallumé comme occupation, je gamberge, sans cesse,
j'écris, je déchire, je recommence pour que mes textes ne soient, au final, pas lus.
Texte écrit le 28/09/10