Hashari

Pages salies.

Mercredi 10 novembre 2010 à 1:25

Un soir de plus avec mon banc et mon lampadaire,
Un long joint d'herbe,
Car j'ai besoin d'un long bol d'air.




http://hashari.cowblog.fr/images/OmrySkyzomry.jpg






















 
 
 Omry (Tsr) - Paris by night.

 
 
 

Mercredi 10 novembre 2010 à 0:58

 Les lignes de basses ont remplacé le bruit de la circulation, ma fumée se répand sur le sol devant moi, jm'endors avec l'effet de la résine et de mon propre psy qui agît pendant mon sommeil, un petite latte et je repars pour des paragraphes interminables.
Chaque nuit resteront les mêmes, depuis l'enfance, depuis le premier goulot, premier tesson sur un crâne, je craque seul dans le noir avec mon psy, chaque nuits résument ma vie, je crache mon hymne, je balance mes vers comme tu vomis sur le pavé après une demi-bouteille.
Moi c'est mon canna qui m'a montrer, c'est pas vos vulgaires leçons de moral, j'ai préféré ignorer vos paroles et vos jugement, je ne veux plus mûrir, notre maccab attend là, des heures et des heures, refusant de se relever; tu crois qu'en attendant à genoux, tu te montreras fort?
 
 
Je craque depuis le landau, les coups du dar', l'ignorance de l'entourage, la solitude d'un homme sombre, peut finir en fait divers dans les journaux. 

Vendredi 29 octobre 2010 à 18:34

Ma jeunesse est perdue, elle se bat fonce droit dans l'mur et écris ses couleurs sur des vitres de magasins.
Tu vois la drogue qui tourne dans toutes les mains, même des plus jeune, la destruction, est à notre gout, un apogée.
La route qui mène au bonheur est brouillée, se cache dans nos coeurs une peine qui ne cesse de se montrer de plus en plus justifiable.

Toujours à s'étouffé avec l'Haya sur la même pelouse, t'attend que les mêmes personnes fasses tourné les mêmes boissons.

L
e doigt sous la gâchette, on prend conscience de l'avancé qu'il nous reste à franchir.
Pourtant on préfère se tuer, goutte après goutte, lignes après lignes, on refait le monde avec les mots.
Y en a qui on encore les pieds sur terre, d'autres qui ont décollé avant même d'avoir compris ce qu'est la vie.

J'ai perdue ma jeunesse comme la plupart des mes semblables.
 

À l'heure où les frères s'emportent pour une fille qui aurait trop usé de leur patience.
Et où les soeurs se déchirent pour un homme qui aurait cogner trop fort.
On s'enflamme quand y a plus de feuille mais un joint dans la paume.
Génération canapé, tarpé, télé HD.

Jeudi 28 octobre 2010 à 10:10

J'écris des textes comme on achète du pain, les mots sortent de mon vocabulaire, faible certes, mais exploiter dans toute sa grandeur.

Il pleut des termes comme il pleut des torrents en automne.

J'aime la sensation que j'ai trouvé au fond de ses bras, j'aime la douceur avec laquelle elle me caresse de son regard bleu comme l'océan, j'aime la personne que je suis avec elle.

Des volets osent encore s'ouvrir, après toute les difficultés que j'ai fait subir à mon cœur et mon âme.

L'espoir ne fait pas avancer les choses, mais fait avancer les personnalités qui se terrent au fond de ce trou noir, laissant si peu d'espace pour l'amour et la compation. Je forge mon expérience dans le feu de la passion, la musique pour seul amie, je grandis jour après jour avec toute ces questions qui continuent à défilé, à 180 sur les allées, je pense apercevoir la lumière blanche dont tout les plus grands idéalistes me parlent depuis le début de ma vie.

Les choses se dérangent au fur et à mesure des heures qui passent, les secondes paraissent des heures, et les tournants de ma vie prennent une mauvaise tournure.

J'écris au fil des jours qui se décrivent tout doucement dans le noir profond de mon être, mon existence est apparenté à un néant trop présent dans mon quotidien, mes mots ne remplaceront jamais les larmes qui ont servie de rivière à mes maux.

Je hurle comme si c'était la première fois, répercussion et persécution incessante, le pardon n'est qu'une clé parmi un trousseau de perdition.

 

Je pardonne toute ces âmes qui ont tentées de ressentir le froid qui m'envahit de plus en plus, ne laissant plus aucune place à la paix.

Je serre les dents quand je repense à mes morts, à mes proches et à mes futures!

Marocain sur l'oreille et du rhum en poche je bâtit un empire qui n'a pour seul égal le froid de toute une vie.


Mercredi 27 octobre 2010 à 11:52

Le regard bleu perçant et de l'or en guise de cheveulure.
Nous traçons notre route avec des pas de géants, les seules images qui surgissent de mon coeur ne sont que
le regard de braise,
et ses mains d'anges,
mon corps à besoin de sa chaleur, je veux creuser une place dans son coeur et m'y blotir aussi longtemps qu'elle me l'accordera.
La crainte se fait sentir, secondes après secondes, la vie s'est-elle, pour une fois, emparé de mon âme?
Je suis le prisonnier de son visage.
Les nuits sont semblable à un envol au paradis à ses côtés,
ses baisers ont le gout de la luxure, et la douceur de ses caresses rappel le vent en plein mois d'Août,
son odeur transperce mon odorat, et les baisers que je laisse sur sa nuque me font oublier toute les saveurs que j'ai put rencontrer jusqu'ici,
la tranquilité est dans son souflle, et la paisibilté est au creux de ses bras.


Elle et son amour à revendre...

 
800, c'est le nombre de bornes qui me sépare d'elle et de sa vertue,  mes vices et mes démons s'envolent comme feuilles au vent quand mes pas atteignent les quais de la Gare de Lyon.
 Aujourd'hui, je peux reprendre la bonne route dans le bon sens, et dormir plus tranquillement.

 

Infiniment merci.

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