Un long joint d'herbe,
Car j'ai besoin d'un long bol d'air.
Mercredi 10 novembre 2010 à 1:25
Mercredi 10 novembre 2010 à 0:58
Vendredi 29 octobre 2010 à 18:34
Jeudi 28 octobre 2010 à 10:10
J'écris des textes comme on achète du pain, les mots sortent de mon vocabulaire, faible certes, mais exploiter dans toute sa grandeur.
Il pleut des termes comme il pleut des torrents en automne.
J'aime la sensation que j'ai trouvé au fond de ses bras, j'aime la douceur avec laquelle elle me caresse de son regard bleu comme l'océan, j'aime la personne que je suis avec elle.
Des volets osent encore s'ouvrir, après toute les difficultés que j'ai fait subir à mon cœur et mon âme.
L'espoir ne fait pas avancer les choses, mais fait avancer les personnalités qui se terrent au fond de ce trou noir, laissant si peu d'espace pour l'amour et la compation. Je forge mon expérience dans le feu de la passion, la musique pour seul amie, je grandis jour après jour avec toute ces questions qui continuent à défilé, à 180 sur les allées, je pense apercevoir la lumière blanche dont tout les plus grands idéalistes me parlent depuis le début de ma vie.
Les choses se dérangent au fur et à mesure des heures qui passent, les secondes paraissent des heures, et les tournants de ma vie prennent une mauvaise tournure.
J'écris au fil des jours qui se décrivent tout doucement dans le noir profond de mon être, mon existence est apparenté à un néant trop présent dans mon quotidien, mes mots ne remplaceront jamais les larmes qui ont servie de rivière à mes maux.
Je hurle comme si c'était la première fois, répercussion et persécution incessante, le pardon n'est qu'une clé parmi un trousseau de perdition.
Je pardonne toute ces âmes qui ont tentées de ressentir le froid qui m'envahit de plus en plus, ne laissant plus aucune place à la paix.
Je serre les dents quand je repense à mes morts, à mes proches et à mes futures!
Marocain sur l'oreille et du rhum en poche je bâtit un empire qui n'a pour seul égal le froid de toute une vie.
Mercredi 27 octobre 2010 à 11:52
Le regard bleu perçant et de l'or en guise de cheveulure.
Nous traçons notre route avec des pas de géants, les seules images qui surgissent de mon coeur ne sont que
le regard de braise,
et ses mains d'anges,
mon corps à besoin de sa chaleur, je veux creuser une place dans son coeur et m'y blotir aussi longtemps qu'elle me l'accordera.
La crainte se fait sentir, secondes après secondes, la vie s'est-elle, pour une fois, emparé de mon âme?
Je suis le prisonnier de son visage.
Les nuits sont semblable à un envol au paradis à ses côtés,
ses baisers ont le gout de la luxure, et la douceur de ses caresses rappel le vent en plein mois d'Août,
son odeur transperce mon odorat, et les baisers que je laisse sur sa nuque me font oublier toute les saveurs que j'ai put rencontrer jusqu'ici,
la tranquilité est dans son souflle, et la paisibilté est au creux de ses bras.
Elle et son amour à revendre...
Aujourd'hui, je peux reprendre la bonne route dans le bon sens, et dormir plus tranquillement.
Infiniment merci.